Pour moi le problème est celui de la sincèrité de la démarche. C'est le problème que j'ai traité dans mon devoir.
Il est clair que l'espèce humaine est par nature une espèce d'êtres sociaux. Mais sommes nous gentils avec autrui, uniquement par intérêt, parce qu'on sait qu'autrui peut nous apporter ou bien sommes nous sincères, pures dans notre démarche?
En fait, dans une première partie, j'ai effectivement aborder la possibilité que la démarche était sincère: ce que j'en ai conclu c'est que l'homme ne peut trouver son achèvement que dans le cadre d'une communauté.
Mais (et la c'est ma deuxième partie) les tensions sociales et les conflits ont lieu lors de rassemblement. J'ai fait un paralel avec le débat télévisé sur la constituion européenne (je sais pas si vous l'avez vu, sur le journal T de 20h), j'ai ainsi montré que les partisants du oui était en conflit avec ceux du non. Ainsi, par exemple Nicolas Sarkozy est opposé aux idées de Marie Georges Buffet. Tous deux s'affrontaient parce qu'ils avaient des inérêts différents: Sarkozy défendait le oui et M.G.Buffet, le non.
J'en ai conclu qu'il y a toujours un intérêt.
Dans une troisième partie, j'ai cherché qu'elle était la cause de ces intérêt et j'ai ainsi trouvé que la concurrence était la véritable cause des conflits humains et donc des intérêts: chacun dispose librement d'un pouvoir sur les choses, limitté seulement par la concurence du pouvoir des autres. Ainsi les partisants du oui et du non était en concurence.
J'en ai conclu que les hommes agissent tous par intérêts envers autrui (désolé Satine!);c 'est la concurence entre eux qui motive ce comportement; chacun ne poursuivant que son intérêt personnel.